Catégories : Femmes fessées
il y a 2 ans
Le feu est passé au rouge. Elle s’est engagée sur le passage clouté. Sans regarder. Perdue dans ses pensées. Un crissement de pneus. Juste le temps de se dire que ce n’était vraiment pas le jour. Vraiment pas. Et elle a perdu connaissance.
Quand elle est revenue à elle, elle était sur un lit d’hôpital, couchée sur le côté. Derrière la porte de la chambre il y avait des voix de femmes. Deux.
- Elle dort, sûrement. Avec la dose qu’on lui a mise…
- Et alors tu dis que…
- Qu’elle s’est pris une sacrée fessée, oui. Oh, mais attends, tu vas voir ça…
Elles sont entrées. Une femme de son âge. À peu près. La quarantaine. Et une d’au moins soixante. Sans doute aux lisières de la retraite.
- Alors ça y est, on est réveillée ?
Elle est allée remonter le store. La lumière a inondé la chambre.
- Évitez de bouger, dans la mesure du possible. Et n’essayez pas de vous retourner. Vous avez trois côtes cassées. Et des contusions multiples.
Elle lui a arrangé les oreillers.
- On va vous faire une piqûre. Ça vous soulagera.
L’autre a tiré la couverture, relevé la chemise de nuit, piqué.
- Là ! Reposez-vous ! Essayez de dormir. On repassera tout à l’heure…
Dans le couloir, une fois la porte refermée, elle l’a entendue chuchoter.
- Oh la la ! Oui. Impressionnant !
Et elles ont ri.
Elle a vaguement somnolé. Fini par s’endormir. D’un sommeil agité, peuplé de rêves où on l’obligeait à monter sur une estrade et à montrer son derrière à une foule rigolarde qui l’invectivait. C’est le sentiment d’une présence, au pied du lit, qui l’a brusquement réveillée. Un tout jeune infirmier, sans doute un stagiaire, qui la considérait d’un œil amusé.
- Alors comme ça, c’est vous !
Elle a rougi.
- Vous savez que vous êtes une vraie vedette dans le service ? On ne parle plus que de vous… Que de la patiente au cul cramoisi.
Elle s’est troublée. A rougi un peu plus encore.
- Bon, mais on va voir ça !
Et il lui a tranquillement mis les fesses à l’air.
- Ah, oui, quand même ! Eh ben dites donc !
Il a regardé. Contemplé. Un temps qui lui a paru une éternité. Honte. Tellement.
- Alors comme ça on aurait fait sa vilaine ?
Il a eu un petit rire. Légèrement moqueur.
- Sa très très vilaine alors. Parce que comment on a été sévèrement punie !
Il a encore ri. Laissé retomber la chemise de nuit. S’est dirigé vers la porte. Est revenu sur ses pas.
- La piqûre… J’allais oublier. À l’origine, c’était pourtant pour ça que j’étais venu.
Le lendemain matin, la surveillante d’étage est venue s’asseoir au bord de son lit.
- Il faut que je vous pose un certain nombre de questions. J’y suis tenue. Vous êtes mariée ?
- Non.
- En couple ?
- Non plus, non.
- Quelqu’un vous bat dans votre entourage ?
- Oh, non ! Non.
- Comprenez-moi bien ! Nous avons constaté que vous portiez des traces de coups. Alors si vous êtes victime de violences, de quelque nature qu’elles soient, je suis dans l’obligation d’en faire la déclaration aux services de police.
- Oui, mais non. Non.
- En somme, si je vous comprends bien, ce sont des jeux auxquels vous vous livrez délibérément avec des partenaires librement choisis.
Elle s’est empressée de dire que c’était ça. Oui. Oui. C’était ça.
- Bien ! Alors ça, c’est vous que ça regarde. Ça ne nous concerne pas.
Elle lui a souhaité une bonne journée et elle a quitté la chambre.
À nouveau le tout jeune infirmier. La mine joviale.
- Alors comment ça va, ce matin ? Bien ? On va voir ça…
Et il a résolument tiré la couverture. Soulevé la chemise de nuit. Et constaté.
- Ça commence à virer. Au jaune. Au violacé. Et même au bleu par endroits. C’est une évolution on ne peut plus normale. Vous n’avez pas la moindre raison de vous inquiéter. Oh, mais vous savez ! Je ne vous apprends rien. Vous avez certainement une très longue expérience en la matière.
Elle a protesté. Mollement.
- Mais non, mais…
- Bien sûr que si !
Il a laissé retomber la chemise de nuit. Ramené la couverture sur elle.
- Que vous ne preniez pas froid !
Et il est resté là, au pied du lit, l’air songeur.
- En attendant, vous êtes une sacrée menteuse !
Elle l’a fixé, interloquée.
- Oui. Parce que personne ne vous la donne, la fessée. Vous vous faites ça vous-même.
Il a marqué un long temps d’arrêt. Attendu une réponse qui n’est pas venue.
- Parce que les claques, ce n’est pas latéralement qu’elles sont tombées, mais de haut en bas. Ça se voit parfaitement. À la trace des doigts sur le bas des fesses.
Il s’est dirigé vers la porte. Tout en la menaçant du doigt.
- C’est pas beau de mentir. Ça en mériterait une autre, de fessée. Et une bonne.
Elle est devenue écarlate.
Il est revenu dans la nuit.
- Je suis de garde et tout le monde dort paisiblement. Je m’ennuie un peu du coup. Et je me suis dit que j’allais venir discuter un peu avec vous. Ça ne vous ennuie pas ?
Elle n’a pas répondu. Il a fermé la porte. Et ils sont restés tous les deux dans l’obscurité.
- D’autant qu’en principe vous sortez demain. Alors vous me racontez ? Vous me dites comment ça se passe quand vous vous le faites ? C’est tout doucement que vous tapez au début, je suis sûr. Pas trop fort. Et puis, peu à peu, vous vous emballez de vous-même. Ça devient plus fort. Et plus ça devient fort et plus vous avez envie que ce soit encore plus fort. Si bien qu’à la fin c’est à plein régime que ça tombe. Vous vous faites crier. Vous vous faites hurler, mais c’est tellement bon. Non ? C’est pas ça ?
- Un peu.
- Un peu beaucoup, oui, vous voulez dire…
Elle ne l’a pas contredit. Il s’est approché. Assis. Sa cuisse contre la sienne.
- Vous pensez à quoi quand vous vous la donnez, la fessée ? Que c’est quelqu’un qui vous le fait ? Oui. Bien sûr. Forcément… Vous faites quoi comme métier ?
- Aide-comptable.
- Et c’est plus souvent qu’à son tour que le patron vous met les fesses à l’air. Non ? Et il y a pas que lui. D’autres. Plein d’autres. En fonction des circonstances. Au gré des rencontres. Et maintenant il y aura moi. Me dites pas le contraire, je ne vous croirai pas. Il y aura moi. Et souvent. Parce qu’un petit jeune de mon âge en train de fesser ta quarantaine épanouie, ça a quelque chose de profondément mortifiant. D’humiliant. Et ça te parle l’humiliation. Beaucoup. Je me trompe ?
Il ne se trompait pas, non. Mais elle ne le lui a pas dit. Il s’est levé.
- Bon. Mais que je vous laisse dormir. Et que je vous dise au revoir. Parce que je ne suis pas de service demain. Je ne vous reverrai pas.
Elle a attendu que ses pas se soient éloignés dans le couloir. Elle a fermé les yeux. L’a fait revenir. En pensée. Elle l’a imaginé jetant la couverture au pied du lit. Lui remontant la chemise de nuit bien au-dessus des reins. Lui posant la main sur les fesses. « Qu’est-ce que je vais te faire ? » « Vous allez me corriger. » « Pourquoi ? » « Parce que je l’ai mérité. Je suis une cochonne que les petits jeunes excitent. Qui aime sentir leurs queues se déverser en elle. » Et ça a été trempé entre ses cuisses. Ses doigts s’y sont enfouis. S’y sont noyés. Y ont tourbillonné tandis qu’elle rêvait de ses mains s’abattant, en grandes claques tonitruantes sur son fessier. Ses cris de bonheur, elle les a étouffés dans l’oreiller.
Elle reprenait tout juste ses esprits quand la porte s’est rouverte. C’était lui. Qui s’est résolument avancé vers le lit.
- Donne-moi ta main !
Elle la lui a tendue.
- Non. L’autre…
Il est allé la chercher sous les draps. Elle a résisté. Un peu. Presque pas. Il l’a portée à ses narines.
- Tu t’es branlée, mais ça, j’en étais sûr… Ça mérite pas, ça, peut-être ? Hein ? Eh bien réponds !
- Si !
Dans un souffle. D’une toute petite voix. Il s’est penché sur elle. Tout près.
- Tu trouveras mon 06 dans tes affaires.
Et il a quitté la chambre. Elle ne l’appellerait pas ! Alors là, sûrement pas ! Il pouvait toujours courir… Elle a haussé les épaules. Tu l’appelleras… Tu sais bien que tu l’appelleras. Que tu ne pourras pas t’en empêcher.
Belle histoire. | |
Coucou, superbe récit avec beaucoup de subtilité, bravo, bises | |
Merci pour cette belle histoire ! | |
Une sublime histoire qui donne des frissons. Merci pour le partage ! |
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